Tartine houmous – saumon – feta & petits pois et recette du houmous au curcuma

toast houmous saumon

 

Hello !

Lors de mon brunch quotidien dominical, je me suis fait une tartine que j’ai beaucoup aimé.

Cela partait d’une improvisation totale à partir de ce que mon frigo m’offrait, et j’en suis très heureuse. Comme quoi il n’y a pas besoin d’aller bien loin pour trouver des recettes nouvelles 😉

Pour 1 tartine il te faudra :

  • 1 tranche de ton pain préféré
  • 50g de chutes de saumon (j’en trouve en magasin bio)
  • 20g de feta
  • 2 cuillères à soupe de houmous au curcuma
  • Quelques petits pois nouveaux dans leurs cosses
  • Graines germées, pavot…

Il me restait du houmous au curcuma de mon précédent plat réalisé pour le blog, vous trouverez la recette du houmous sur ce lien : cliquer ici !

 

Pour les petits pois, s’ils sont fins, verse de l’eau bouillante et fais les ramollir pendant 5 minutes avant de passer à la passoire. Toutes les vitamines & oligo-éléments resteront intacts !

S’ils sont costauds, cuis les à l’anglaise (eau bouillante salée) pendant 3 minutes. Pas +, ce serait dommage… Et si tu n’aimes pas les cosses de petits pois, alors rien ne t’empêche de les écosser 😉 mais ne jette pas les cosses, mixe les avec de l’huile d’olive & de l’ail, ça fera un pesto vert de petits pois !

LA TARTINE : 

Étale le houmous sur le pain, parsème de saumon, feta & de petits pois.

Un peu de sel, de pavot & de graines germées (celles que tu préfères, mais je te conseille celles de brocoli, elles sont piquantes et pleines d’anti-oxydants).

Bon appétît ❤

 

 

Burger truite fumée – betterave – oignon rose – fromage frais & sésame.

1bis

En ces temps de fêtes des Lumières & autres festivités de fin d’année, je n’ai plus vraiment de temps pour moi.

Pourtant je pense cuisine & je pense à ce blog, qui ne demande qu’à être nourrit,  lui aussi.

Voici une recette réalisée lors de mon jour de congé,  rapide & fraîche pour une pause dej’ sur le pouce ou un pic nic hivernal !

L’alliance truite fumée & oignon rose twiste pendant que la betterave & le fromage frais rapportent de la douceur.

image

Voici tout de suite les ingrédients pour deux personnes ::

◾ 2 petits pains au lait briochés style burger ou bun. ( moi j’ai eu la chance d’avoir des petits pains laitiers au levain maison hihi)  !
◽ 4 tranches de truite fumée
◾ 1 grosse betterave cuite
◽ 1 bel oignon rose
◾ Quelques feuilles de salade battavia
◽ Un peu de jus de citron
◾ 30g de fromage frais aux herbes à tartiner
◽ Un chouia de moutarde à l’ancienne
◾ Sel & poivre
◽ Sésame
◾ Huile d’olive

Tartinez une face de votre pain avec la moutarde & l’autre avec le fromage frais. Généreusement.

Disposez successivement en tranches très fines :: salade, betteravetruite, salade & oignons.
Pressez quelques gouttes de citron sur le poisson, salez et poivrez.
Versez un filet d’huile sur la salade.
Saupoudrez légèrement de sésame après chaque étape.

🍴Dégustez bien frais 🍴

Saumon gravlax infusé à la betterave et aux baies roses.

graav1

Aujourd’hui j’ai l’honneur de vous présenter mon poisson préféré !

Le saumon, ce si beau poisson.

Et comme je suis d’origine scandinave je l’aime surtout cru, fumé ou mariné !

Seulement, je n’ai pas encore de fumoir… donc pour l’instant, je me contente de vous offrir la recette du saumon mariné, je veux dire par là, du célèbre saumon gravlax !

Ce sont les suédois et les danois qui disent gravlax, les islandais eux écrivent cela graflax et les finnois: graavilohi !

Petite histoire:

En fait, gravlax est la contraction de gravad lax, lax voulant dire saumon et gravad enterré: saumon enterré ! A l’origine les filets de saumon salés et parfois aromatisés de baies et d’herbes étaient (parfois) serrés entre deux morceaux d’écorce, on plaçait des pierres par dessus pour exprimer l’eau, puis on les enfouissait dans le sable. Evidemment, ce n’est plus la façon de procéder, aujourd’hui lorsqu’on parle de gravlax, on désigne un mode de préparation du poisson dans une marinade contenant a minima du sel, du sucre et de l’aneth.

Graavilohi veut littéralement dire: saumon salé !

Si vous voulez réaliser cette recette, il vous faudra acheter un bon morceau de saumon. Ce qui nous amène sur le terrain très pointu du choix du saumon.

Saumon sauvage, saumon d’élevage, atlantique, pacifique.. ?

Petit rayonnage informatif du monde des saumons:

  • Le saumon sauvage alias le saumon baladeur :

Points positifs:

Le saumon naît en eau douce, dans un fleuve ou une rivière. Quand il a suffisamment grandi, il file dans l’océan où il reste parfois plusieurs années. Puis un beau jour, le saumon entreprend de remonter le cours de la rivière où il est né pour s’y reproduire. Là, après avoir frayé, certains saumons meurent mais d’autres, surtout ceux de l’Atlantique, repartent gaiement se balader de nouveau dans leur océan, y restent et reviennent une seconde fois dans leur fleuve natal.

S’il vit tranquille dans l’océan, ça n’est pas le cas lors de ses parcours en eau douce car pour remonter le cours du fleuve, le saumon doit franchir moult obstacles qu’il saute allègrement. D’où son nom, dérivé du latin salire qui signifie sauter.

Il existe plusieurs espèces de saumons : tous sont gras, ont une peau grise/argentée et une chair plus ou moins rose, parfois presque rouge. Ce rose vient d’un pigment, l’astaxanthine (dérivé du carotène) qui colore la carapace des crevettes dont le saumon se nourrit volontiers. Parce qu’il se balade ainsi, le saumon sauvage est très sportif et donc super séduisant. Sa chair est ferme et son goût très fin.

Seulement, cette vision idéale du saumon sauvage parfait n’est plus.

Points négatifs:

Le saumon sauvage se raréfie de plus en plus pour toutes sortes de raisons : surpêche depuis plusieurs années, dégradation de son environnement.. En effet, les diverses pollutions et obstacles construits sur son parcours fluvial rendent le saumon nocif pour la santé! Quelle horrible peine j’ai eu à écrire cette phrase.. .

Le monde dans lequel nous vivons détruit la vie d’animaux innocents.

Le gouvernement norvégien l’a même récemment reconnu officiellement.. « le saumon sauvage est vivement déconseillé aux femmes enceintes et jeunes enfants »! C’est scientifiquement prouvé, les poissons ingèrent toutes les pollutions que la société d’aujourd’hui rejette dans la mer..

Pas la peine d’en rajouter pour vous faire comprendre que le saumon sauvage n’est plus vraiment sain et éthiquement bon. Paradoxalement, son prix est toujours très élevé.

  • Le saumon d’élevage alias le pauvre sportif:

Points négatifs:

L’élevage du saumon remonte aux années 60, mis en place par l’Écosse et la Norvège. Parti d’une noble cause, il s’agissait d’élever des alevins, des nouveau-nés saumons, pour les relâcher et repeupler l’Atlantique.

Puis on a gardé les saumons jusqu’à ce qu’ils soient adultes et on les a vendus. Ca a bien marché et du coup l’élevage des saumons s’est développé de plus en plus et est devenu une véritable industrie, jusqu’au Chili.La Norvège est le premier producteur. La France le premier pays importateur : nous adorons le saumon et nous en mangeons plus de 120 000 tonnes chaque année.

Ce sont des saumons qui ne nagent pas autant que les saumons sauvages (vu qu’ils sont dans des cages), qui sont nourris de farines de poissons enrichies en colorants chimiques (pour qu’ils soient bien rose vif car les gens aiment cela), qui sont régulièrement soignés avec des médicaments pour éviter les épidémies dévastatrices des élevages comme par exemple « le poux de mer ». Berk.

Chacun son opinion mais permettez moi ici d’y poser le mien.

  • Le saumon d’élevage bio: »l’alternative »:

Point négatif:

Il ne remonte plus les rivières en chantonnant et en évitant les ours bruns.

Points positifs:

Il n’ingère pas la pollution des océans, il n’est pas gavé d’antibiotiques ni nourrit de « choses » immondes.

En effet depuis les années 2000 l’aquaculture biologique répond à des règles très strictes qui tiennent compte à la fois du bien-être de l’animal, de l’environnement et du consommateur.

La prévention reste la règle prioritaire. Elle passe par le maintien de la qualité de l’eau, par l’espace vital accordé aux animaux et par le choix et la disponibilité de l’alimentation.

Conditions de vie:

Pour diminuer les risques de développement de parasites et de maladies la séparation des zones et la désinfection des matériels sont effectuées. Certains sites d’élevage bio se situent en pleine mer, afin de garantir un brassage et un renouvellement permanent de l’eau ou dans des régions bénéficiant d’une grande qualité d’eau. La densité maximum d’élevage pour le saumon bio est de 10 à 12 kg / m3. Un quota de production annuel est limité à 200 tonnes/an pour la truite et le saumon, par site, toutes espèces de poissons confondues. Dans le conventionnel, il n’y a aucune limitation de tonnage.

Alimentation:

L’alimentation des poissons d’élevage bio doit être conforme à leurs besoins physiologiques. Elle est constituée :

• de farines et d’huiles de poissons provenant de pêches sauvages gérées par quotas

• de 30% minimum d’ingrédients végétaux issus de l’agriculture biologique

Sont interdits:

• Les produits d’origines animales bio ou non bio

• Les OGM

• l’addition dans les aliments de stimulateurs de croissance, d’additifs médicamenteux, de colorants chimiques de synthèses, de stimulateurs d’appétit, toutes hormones de synthèses.

Couleur et origine:

Contrairement à ce qui est souvent observé, les salmonidés peuvent avoir des colorations différentes. Elle est due essentiellement à l’alimentation et aux origines. Sa couleur sera plus rouge dans le Pacifique, plus claire dans les pays nordiques et très pâle en mer Baltique. Par exemple, le saumon et la truite fumés BIO d’origine bretonne ont une couleur de chair naturellement claire due à une alimentation n’utilisant aucun colorant ni additif.

Le saumon est un vrai sujet d’actualité !

Aujourd’hui il faut avoir pleine conscience de ce que nous mangeons, de ce que nous choisissons de manger, c’est le plus important.

En écrivant cet article j’ai du mal à comprendre pourquoi je mange encore du saumon quelques fois. Son goût et mes origines troublent peut-être ma raison.. . mais quoi qu’il en soit, si vous aussi vous avez encore du mal à prendre conscience de tout ça, s’il vous plait, pour les saumons et pour votre santé, achetez avec conscience.

Après toutes ces péripéties, place à la recette !!

gra2

Temps de préparation:15 minutes + 24 heures de repos.

Budget:Tout dépend du type de saumon que vous choisissez ! Moi j’ai choisi un saumon bio d’Irlande à 34 euros le kilo.

Ingrédients pour 2/3 personnes:

  • 200g de pavé de saumon frais et sans arrêtes
  • 4 cuillères à soupe de sel
  • 4 cuillères à soupe de sucre roux
  • 1 cuillère à soupe de baies roses
  • 4 tiges d’aneth
  • Une cuillère à café de zestes de citron vert
  • 1 petite betterave

Vérifiez bien que votre pavé ne contienne plus d’arrêtes. Enlevez délicatement la peau argentée du saumon.

Dans un bol mélangez sel, sucre, zestes et baies roses.

Dans un plat étalez la moitié du mélange et 2 tiges d’aneth, déposez le saumon puis recouvrez du reste du mélange et d’aneth.

Découpez la betterave en lamelles et recouvrez le saumon de façon à ce que le pavé en soit recouvert de tous les côtés.

Filmez le plat et placez au réfrigérateur pendant 24 heures. A mi-parcours videz l’assiette de son jus.

Le sucre et le sel vont rentrer en osmose, la betterave va colorer la surface du saumon et l’aneth et les baies roses vont déployer leurs palettes de saveurs!

gra3

Une fois les 24 heures écoulées, déballez votre graavilohi et rincez le sous l’eau froide de façon à éliminer les grains de sel sucrés sur la peau. Séchez le avec un linge. Le saumon doit être rose foncé et lisse.

Il ne vous reste plus qu’à le couper en fines tranches.

Avec ce saumon mariné, les scandinaves mangent habituellement du pain de seigle et une sauce à base de moutarde et d’aneth.

Pour varier un peu et ajouter une petite touche frenchy, je vous propose des petits toats de pains aux graines et de chèvre frais, parsemés de sésame torrefié et d’aneth !

gra4

KarjalanPiirakka ou Tarte de Carélie !

1

Voilà une nouvelle spécialité finlandaise que je voudrais partager avec vous aujourd’hui !
Parce que si j’écris sur ce blog ce n’est pas seulement pour mettre en exergue mes recettes, mes recherches et essayer de faire de jolies photos, c’est surtout pour partager avec vous des choses qui me tiennent à coeur et qui, je pense, pourraient vous faire plaisir.

Ainsi aujourd’hui voici les tartes traditionnelles de Carélie: les karjalanpiirakkat!

La tarte de Carélie est une pâtisserie traditionnelle finlandaise, avec une mince coque de seigle qui renferme du riz au lait: « ohraryynipuuroa », une sorte de porridge.

L’origine de cette recette est médiévale et vient du nord ouest de la Russie où on nommait cette petite tarte des « Kalitki » ou « Kalitta » mais de nos jours ces tartelettes sont surtout connues en Finlande, proche voisine de la Russie et ex pays conquit.

La Finlande et la Carélie ont longtemps été convoitées par la Suède et la Russie et c’est donc chargé d’histoire que cette recette s’est élaborée avec le temps. A travers une pâte douce et fermentée, un appareil dense et moelleux et une garniture délicate comme les finlandais qui sont toujours restés fidèles à eux même et à leur Terre dans les moments sombres de l’histoire.

Aujourd’hui la karjalanpiirakka est un symbole d’amour et de durée dans le temps d’un peuple à sa Terre.

Karjalanpiirakka alias Tarte de Carélie est inscrite depuis 2003 comme une spécialité traditionnelle de l’Union européenne. Selon la définition la pâte doit être d’au moins la moitié du seigle et l’appareil peut seulement être une bouillie de riz, d’orge ou de pommes de terre.

Les karjalanpiirakkat se servent traditionnellement avec une brouillade d’oeufs. Pour ma part je préfère ma petite variante frenchie, je vous suggère de les accompagner avec un fromage frais fouetté et crémeux mélangé avec de l’aneth et des chutes de saumon ou de truite fumée ! YUMMI YUMMI

C’est une recette salée parfaite pour être emportée avec soi le midi avec une salade ou pour accompagner une soupe le soir par exemple. Cette spécialité un peu roborative remplace aisément les sandwiches!

2

Ingrédients pour environ 15/20 karjalanpiirakka:

Pour le porridge:

  • 300ml d’eau
  • 170g de riz rond
  • 800ml de lait demi-écrémé
  • 2 cuillères à café de crème fraiche
  • Une pincée de sel de guérande
  • Une 1/2 cuillère à café de noix de muscade râpée

Pour la pâte:

  • 400ml d’eau
  • Environ 200g de farine de seigle
  • 100g de farine de blé

Finitions:

  • 50g de beurre fondu
  • Une cuillère à soupe de lait
  • Une cuillère à soupe d’eau

Accompagnement:

  • Un fromage frais fouetté type Paysan Breton
  • 6 branches d’aneth fraîche
  • Un ramequin de chutes de saumon ou de truite fumé
  • Sel & poivre
3

Consignes:

L’appareil à porridge:

Faîtes bouillir l’eau puis ajoutez le riz. Laissez cuire 5 minutes et ensuite ajoutez au mélange le lait, la muscade et le sel. Mijotez le porridge pendant 45 minutes environ, jusqu’à ce que le porridge ait entièrement assimilé le liquide. Réservez à l’air libre.

La pâte:

Allumez votre four à 225°C.

Mélangez les farines et l’eau ensemble jusqu’à obtenir une pâte un peu molle.

Farinez le plan et divisez la pâte en 15 portions égales afin de les aplatir ensuite en des « ovales ronds ». (Une photo arrive bientôt!)

Garnissez de deux cuillères à soupe de porridge les tartelettes puis rabattez et pincez les côtés avec le majeur et le pouce.

Enfournez pendant environ 15 minutes ou jusqu’à ce que les tartes brunissent.

Après avoir fait fondre le beurre, mélangez-le avec l’eau et le lait et trempez un à un chaque karjalanpiirakka sortant du four dans le mélange afin de lui donner une jolie couleur et un moelleux supplémentaire!

Ces karjalanpiirakka se conservent une bonne semaine dans des tissus en lin ou en coton. Faîtes donc ces petites tartes le week-end et vous en aurez d’avance pour tous vos déjeuners de la semaine!

Bouillon de noix de St Jacques, citron vert, coriandre.

soupe1

C’est si bon les coquilles St Jacques ! Elles sont délicates, savoureuses et si vous suivez ma recette, elles feront une jolie et parfaite entrée pour votre repas de Noël !

Cette entrée est facile à réaliser, ses saveurs sont originales et font en général l’unanimité autour de la table.

Le saviez-vous ? La saison de la St Jacques dure environ 7 mois, d’octobre à mi-mai. On est en plein dedans ! La principale région de pêche est la Normandie, qui détient 2 labels rouges, un pour la coquille et l’autre pour la noix.

Avant de vous proposer ma recette, voici quelques conseils pour bien choisir ses coquilles St Jacques :

•Chez votre poissonnier, veillez bien à ce que la St jacques porte le nom latin de Pecten maximus, car autrement, d’autres mollusques comme les pétoncles ou les vanneaux se glissent sous l’appellation noix de St Jacques, et bien qu’ils ne soient pas mauvais, ils n’ont rien à voir avec la saveur de la vraie noix de St Jacques. Donc : be careful !

•Choisissez la vivante. Et si elle est ouverte, touchez la : elle doit se refermer immédiatement.

•Vous pouvez conserver les coquilles St Jacques fraîches entières, idéalement à plat, au réfrigérateur pendant 3 jours au maximum. Si vous avez acheté des noix décoquillées conservez-les dans un plat en verre couvert d’un film alimentaire pendant 2 jours maxi.

•Par souci d’économie, ou parce que vous n’allez pas au marché ou que vous voudriez faire cette recette en été, vous pouvez tout à fait acheter des coquilles St Jacques surgelées. Il y en a de bonne qualité chez la marque de surgelés Picard. Dans ce cas-là, faîtes les décongeler dans du lait 3 heures avant de les cuisiner et elles seront aussi moelleuses que des noix fraîches.

Voilà pour les petits conseils, maintenant, place à la recette !
Temps de préparation : 25 minutes.

Budget: dépend si vous avez choisi des coquilles fraiches ou surgelées, mais vu que les autres ingrédients ne sont vraiment pas cher du tout.. c’est un budget très bon marché.

soupe2

Ingrédients pour 4 personnes :

•12 petites noix de St Jacques

•2 cubes de bouillon de poule

•1 citron vert

•2 grosses cuillères à soupe de coriandre fraîche hachée

•1/2 cuillère à café (cac) de sucre blond

•1/2 cac de piment doux

•1/2 cac de sel

•1/2 cac de poivre blanc moulu

Faîtes chauffer 1 litre d’eau dans une casserole, portez à frémissement et diluez les cubes avec un fouet. Ajoutez les épices et baissez le feu.

Découpez le citron vert en 8 rondelles. Ajoutez les au bouillon et laissez infuser pendant 10 minutes à feu doux. Ravivez le feu et ajoutez les noix, toutes en même temps afin de ne pas en sur cuire ou « sous cuire » certaines. Cuisez les rapidement pendant 3 minutes.

Sortez les noix et réservez-les dans une assiette. Versez le bouillon dans 4 petits bols, déposez-y les noix et saupoudrez de coriandre hachée et posez une rondelle de citron vert en décoration.

C’est prêt !

Variante : vous pouvez aussi décider de réaliser cette recette en plat principal, en rajoutant 2 St jacques par personne et cuisiner un risotto au jus de St Jacques, corail, coriandre et zeste de citron vert!

soupe3
soupe4